Renault & Peugeot & Citroën : Le piège du modèle économique se referme !
Côté planète nous pouvons nous réjouir ! Enfin, la population arrête d'acheter des voitures à tout va et commence à entrevoir d'autres alternatives comme par exemple : le partage de véhicule, les transports en commun, l'usage de vélo et autres moyens doux. Ou peut-être avons-nous affaire à une évolution pertinente qui a conduit les françaises et français à s'attaquer à la source des problèmes du transport en réduisant drastiquement la distance entre leur domicile et leur lieu de travail !
Ce serait magnifique ! Imaginez ! Devant vous des éco-quartiers construit dans une ville à taille humaine, dans laquelle serait développés les activités économiques nécessaires à la bonne marche de la cité ! Un rêve non !
De l'autre côté du miroir, la chute des vente est un drame ! Triste temps que 2011 ! Et l'enfer est annoncé pour 2012 ! Le constructeur Renault ne vend pas assez de voitures. Ses ventes ont chuté de - 39,6% en un an. C'est vraiment affreux ! Peugeot et Citroën n'ont pas fait mieux avec respectivement -29,6% et -24,7% de chute. L'économie de la croissance est en berne ! Le chômage pointe son nez puisqu'il dépend, dans notre modèle, de la baisse de l'activité économique. Triste condition pour ces trois constructeurs automobiles de devoir "vendre pour vendre".
Les conseils de Creersansdetruire
Devons-nous, nous attrister ou nous réjouir ? Quelque soit le regard que nous portons sur la société, nous ne pouvons qu'être attrister en raison de l'épreuve que subisse les salariés de ces groupes mais nous pouvons nous réjouir pour la planète. Gageons que ces soubresauts économiques violents puissent engager l'humanité sur une autre voie, un autre modèle économique dans lequel "l'obligation de vendre" ne sera plus une condition incontournable (cf. articles).
La nécessité de réduire notre consommation drastiquement afin de réduire la prédation de notre planète est une nécessité. L'homme doit comprendre que notre planète ne peut soutenir la croissance économique démentielle que nous lui affligeons. L'équilibre est une nécessité !
Primum non nocere
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